La Genèse de Kerrigane.

Kerrigane, Enfant de Mars.

Pendant des années La Firme s’appropria les bébés issus de mariages… Je fus élevée dans ce que La Firme appelle le Bunker Père. Formée aux techniques de base de la terraformation, formatée pour adorer La Firme et son message « Vivre pour travailler ».

C’est ce qu’il c’est passer je pense, puis ce que je n’en ai plus aucun souvenir, les visages sont flous, les voix inaudibles. Je me suis réveillée dans le Bunker de ma concession, découvrant mon visage dans le reflet d’un hublot, visitant mon Bunker, ma nouvelle maison, mangeant ma première ration. Je vis le manuel de la firme poser sur le rebord de la console du poste logistique, je me suis ensuite mise à le parcourir et me rendis très vite compte que je le connaissais par cœur.
Mes premières sorties furent difficiles, mais La Firme avais bien fait son travaille, j’adorais creuser, avoir un but à atteindre sans vraiment savoir le quel. S’en suivie plusieurs semaines de travaille intensif pour le compte de La Firme.

Bien sur je ne doutais pas que Mars était à l’aube d’une ère nouvelle, un changement météorologique majeur.


Apres ce changement, tout l’enseignement que j’avais reçu était obsolète, j’étais donc livrée à moi-même, j’allais devoir me faire ma propre idée sur ses nouveaux phénomènes météorologique. Je décidais donc de sortir au risque d’être blessée ou pire…

Les caméras extérieur affichais le paysage de Mars, calme est paisible. Je me rendis à mon SAS pour m’équiper de mon scaphandre et de ma pelle a vérin. Une fois dehors le travaille pouvais commencer, je me rendis a la parcelle de terre, richesse en minéraux, que mon rover avais marqué. La température était plutôt agréable, au alentour de moins trente quatre degrés Celsius. Je commençais a peine a creuser lorsque qu’un vent froid ce fit sentir, un vent violent éprouva mon scaphandre. Je fut plaque au sol, ma pelle a vérin planter dans le sol a la vertical, une seconde rafale violente la décrocha du sol, la peur me gagnais, la pelle a vérin ce mis a voltiger pour m’atterrir dessus en pleine tête. Je perdis connaissance…

Durant mon inconscience je vis des choses. Des choses du passé, des visages terrifiés, des combats, un monstre énorme, l’apparition d’étranges personnages masqués par l’ombre, des choses que je ne pourrais pas avoir vu ou même vécu étant donner mon jeune âge.
Le vent de Mars et les âmes qu’il emporte me contais un bien sombre passé.

Par chance j’étais non loin du bar, quelqu’un me trouva. Sans cette personne je serais probablement morte, oubliée dans l’immensité de Mars…


Archives audio-vidéo RESISTANCE dossier 6K3TY7.

« - Ici Tiamat, je… je viens de trouvé le corps de quelqu’un, elle semble encore en vie. Je rentre avec elle, nous serons la dans quelque minute. Qu’une équipe médicale ce tienne prête. »
« - Bien reçu chef. »


Archive suivante. Conversation entre Tiamat et Albakore, salle de diagnostique médicale.

« - La jeune femme que j’ai amené est elle consciente ? »
« - Pas encore soyez patient, nous allons bientôt en savoir plus sur elle. J’ai trouvé son identité si cela vous intéresse. »

« - Qui est-elle ? »
« - Elle s’appelle Kerrigane, elle ne semble pas être active depuis longtemps. Cette carte est neuve. »

« - Sait-on d’où elle vient ? »
« - D’après ça carte elle est sur Mars depuis ça naissance… »

« - Bien, prévenez-moi si quelque chose arrive. »
« - Je la sort du caisson dans quelque heures. Une fois qu’elle sera disposée à parler je la ferais amener en salle sécurisé, on ne sait pas qui c’est je préfère éviter les surprise. »




« - Bonjour, je m’appelle Albakore. Je suis l’infirmier en charge de vous. Nous vous avons trouvée non loin du bar de forage. Vous avez était ramenez ici et placer en stase médicale. »
Voyant que la jeune femme ne semblait pas réagir a c’est parole Albakore s’en rapprocha en essayant de capter son regard fuyant.

« - Est-ce que vous me comprenez ? »
Elle esquissa un sourire en guise de réponse.

« - Bien je prend cela pour un Oui. Je comprends que vous soyez un peu désorientée, mais cela passera vite. Vous souvenez vous de quelque chose dont je devrais être au courant pour votre santé ?»
« - Où suis-je ? Pourquoi suis-je attachée ? Je suis vivante, le reste est-il important ? » Dit-elle d’une voix faiblarde.

« - Simple mesure de sécurité, pour vous comme pour la notre. Vous êtes dans le complexe du syndicat Résistance. Mais parlons un peu de vous…»
« - J’ai mal à la tête, je me souviens de rien. »

« - Vous souvenez vous de votre nom ou quelque chose vous concernant ? »
La jeune femme s’emblait chercher une réponse a la question poser, mais sans succès.
« - Je…je ne me souviens plus.»

« - Je vais vous le dire alors. » Dit-il en s’approchant de la jeune femme.
« - Vous vous appelez Kerrigane. Ecoutez Kerrigane, je vais maintenant vous détacher pour que vous soyez pour a votre aise. » Il détacha la jeune femme, puis lui tendis quelque chose à manger.
« - Vous devez avoir faim »
La jeune femme ce jeta sur cette nourriture, elle était affamée.

« - C’est beaucoup mieux sans entrave n’est ce pas ? » Lui demanda t-il en posant la main sur l’épaule de la jeune femme.

Soudain le comportement de la jeune femme changea. Elle n’était plus du tout la même. Son regard était différent. Elle lâcha la nourriture pour attraper Albakore par le bras.
« - Touche la encore et tu ne touchera jamais plus rien ! Laisse la tranquille elle n’a pas besoin de toi. » Dit-elle d’une voix forte et menaçante.

Elle assomma ensuite Albakore joignant c’est deux main pour lui porter un coup sur la tête.
Les deux commando qui gardaient la porte s’empressèrent d’entrés. Ils virent l’infirmier a terre sans connaissance et la jeune femme recroquevillée dans une coin de la pièce parlant toute seule.

« - Laisse-le. »
« - Pourquoi tu lui a fait du mal, il voulait seulement m’aider ?»
« - Tu ne doit pas faire confiance à ces gens, ils t’enfermeront comme la Firme de la fait. »
« - Non ! Je ne te crois pas il était gentil avec moi. »
« - Ils le sont tous. Tu ne dois pas les croire. Ce sont tous des menteurs. »
L’un des deux commando s’approcha alors de Kerrigane.

« - Levez vous. Ne tentez rien de stupide. »
« - Aidez-moi ! Elle a fait du mal a l’infirmier, ce n’était pas moi. Je vous en prie, aidez-moi. » Lui dit la jeune femme affolée de ne pas comprendre ce qui lui arrive.

« - Elle est dingue, tue la qu’on en parle plus ! » S’exclama le second commando.
« - Tu déconne ! Je ne vais pas la tuée, regarde la elle flippe complètement. Je l’attrape et toi tu l’attache.» Il ce retourna ensuite vers la jeune femme.
« - Mademoiselle calmez-vous. Tout vas bien ce passer venez avec moi. » Dit-il en tendant la main en direction de Kerrigane.

Kerrigane pris la main de l’homme puis lui dit.
« - Je suis...désolée !! »
Quelque secondes plus tard, les deux commando son par terre et la jeune femme s’enfuit en courant dans le couloir. Fin de la séquence d’archive.

Elle courait dans ce dédale de couloir depuis plusieurs minutes, quand soudain une poste s’ouvrit et quelqu’un en sortit. Il s’agissait de Tiamat l’homme qui lui avait sauvé la vie. Ne le reconnaissant pas la jeune femme pris peur et repartie dans l’autre sens.

« - Attend ! Reviens. » Lui cria Tiamat. Puis il s’adressa aux hommes à sa poursuite.
« - Rattrapez-la ! Et ramener la, sans lui faire de mal. »

Au détour d’un couloir Kerrigane ce retrouva face a plusieurs hommes armés. Tout en entendant que d’autre arriver derrière elle, elle ce demandait comment sortir de la. Quelqu’un approcha dans son dos pour lui parler.
« - Tu n’iras nulle part, t’en que tu n’auras pas parlée au Boss. »
Elle ce retourna et pour frapper l’homme et prendre son arme. Une fois cela fait elle menaça les hommes qui étaient devant elle.

« - Laissez-moi passée ! Laissez-moi… ou… je vous… » La vue de la jeune femme ce brouilla et elle tomba a terre s’en finir ça phrase. Avant de sombrée dans l’inconscience elle entendit les commandos parler entre eux.

« - Elle est forte… Pour une fille. »
« - Ouais ! Tu as vu comment elle l’a désarmé !? »
« - C’était pas mal, le Boss lui donnera peut être une job une fois qu’elle se sera calmée… »

Archive audio-vidéo. Rapport d’incident 231-A.

« - Chef, nous l’avons maitrisée. Quelle sont vos ordres ? »
« - Assurez qu’Albakore vat bien et aidez le a mettre la jeune fille en stase, le temps de savoir ce qu’elle a exactement. Et faite attention, si elle revenait a elle avant ça. »

« - Oui Chef ! Ce sera fait. »

Fin de la séquence d’archive.

Inquiétantes conclusions.

Après s’être remis de son coup sur la tête Albakore entrepris des analyses sur Kerrigane.
Lecture du rapport médicale



« - Rapport d’analyse 725-Kerrigane. La patiente présente un important trouble de la personnalité, les troubles se manifestent par un changement notable de la diction ainsi que d’attitude.
Après examen des fonctions cérébrales il s’avers que le cerveau de la patiente présente une activité cérébrale anormal probablement imputable a un accident de chantier. La patiente étant relativement violente par moment il est difficile d’évaluer si le trouble de la personnalité est un effet ou bien une cause de son accident.

J’ajoute ci-joint la vidéo de surveillance.

Grace a cette vidéo je peux déjà affirmer que les troubles se manifeste au ressentir d’une quelconque menace, la peur laissant place a la violence. Je doute de pouvoir la soignée rapidement, une analyse psychologique est dors et déjà programmé. »

« - Ajout du fichier audio-vidéo confirmé. Rapport enregistré et archiver. »

Quelques jours plus tard… Kerrigane était toujours en stase médicale, quand Tiamat est venu voir Albakore pour prendre des nouvelles.
« - Bonjour Alba’ ou en est on ? »
« - Bonjour, j’allais venir vous voir justement, j’ai mis au point un petit cocktail qui devrait la maintenir consciente tout en empêchant son coté… violent de prendre le dessus. Nous allons pouvoir lui parler et j’aimerais que vous soyez présent. »

« - Bien, je vais renforcer la sécurité. Et autre chose, ne la détacher pas cette fois-ci… »
« - Je vais lui injecter maintenant, nous aurons tout notre temps pour lui parler. Ne vous inquiétez pas je ne referais pas cette erreur deux fois. » Dit-il en portant la main a ça tête…

Peu de temps après, Kerrigane fut emmené à nouveau en salle d’interrogatoire puis attachée. Avant d’entrée dans la salle Tiamat et Albakore eurent un entretien.

« - Je vais vous demandez quelque chose Chef, laissez moi lui parler dans un premier temps, j’ai apporté quelque chose qui pourra nous servir. » Albakore lui présente un appareil portatif étrange munie d’un écran.
« - C’est un scanner portatif, avec ça nous pourrons voir quand son cerveau réagira aux questions et prévenir de l’apparition de sa personnalité violente si jamais mon traitement ne marcher pas complètement »

« - Bon à savoir… Entrons alors.»

Les deux hommes entrèrent dans la pièce ou ce trouvais Kerrigane.
« - Bonjour, Kerrigane. » Albakore s’installa face à elle pendant que Tiamat entrait dans la pièce en silence. Puis il alluma son appareil et le posa sur la table.

La jeune femme était devant eux un peu amorphe.
« - Bonjour, je suis désolée d’avoir menacé vos hommes … »
« - Vous n’avez pas fait que ça, mais passons. »

« - Non, racontez moi, je vais savoir j’en ai le droit. »
« - Et bien vous m’avez frappé et vous avez ensuite mis K.O deux de nos hommes. Vous ne vous souvenez pas ? »

« - Pas du tout. Pourquoi je ne me rappelle de rien ? Qu’est ce que j’ai ? »
« - Vous êtes atteinte de ce que nous, médecins, qualifions de trouble de la personnalité. »
« - Pourquoi ? Comment ? »
« - Et bien cela nous l’ignorons, en ce qui concerne le « comment ». Il arrive que lors d’un choc émotionnel intense l’esprit ne sache comment réagir et s’en suit une dissociation, votre esprit crée une autre personnalité pour protégé la votre. »

Kerrigane écouta avec attention ce qu’Albakore lui révéla, tout en s’inquiétant sur son sort.
« - Alors quoi je suis folle ? » Elle ce mit a pleurée.
« - Pourquoi moi… Je ne devrais pas être ici, je voudrais rentrée maintenant. Peut être que quelqu’un me cherche. »

Albakore essaya de prendre la voix la plus rassurante possible.
« - Ecoutez, ça va s’arranger, nous avons cherché. Personne ne vous attend, personne ne vous cherche. Dans votre état il n’est pas bon être seule. »

La jeune femme semblait écoutée mais en semblant de plus être là.
« - Kerrigane ? Est-ce que ça va ? »

Elle releva la tête, portant une main à son visage pour y recueillir une larme. Tiamat tapa sur l’épaule d’Albakore pour attirer son attention, et lui chuchota…
« - Ca à changer de couleur là… »
Les deux hommes un peu inquiets regardèrent Kerrigane d’un drôle d’air. Elle qui regardais la larme coulée sur son doigt.

« - Vous l’avez fait pleurée ! Misérables ! Je vais vous… » Elle cessa de regarder ça main pour regarder les deux hommes, en particulier Albakore.
« - Encore toi le toubib… Aller c’est plus drôle, détache moi on va prendre ton bon temps tout les deux, comme la dernière fois ! » Dit-elle gigotant pour essayait de se libérée.
« - Aller soit gentil, ton copain peut jouer aussi. »

Albakore tenta ne pas perdre ça concentration et entra dans son jeu.
« - Dite moi plutôt qui vous êtes, nous jouerons plus tard. Comment vous appelez vous ? »
« - Mon nom n’a pas d’importance, je suis tout pour elle. Elle n’a besoin que de moi. Maintenant vous allez la laissez partir ou… » Tiamat ne pu s’empêché de lui coupé la parole

« - Ou quoi ? »
« - Je vous tuerai tous ! Et réduirais tout en cendre autour de vous. »

« - Nous ne vous voulons aucun mal. Si elle et vous êtes ici c’est seulement par ce que je l’ai trouvée. Elle était à moitié morte, et vous avec. Vous devriez nous remercier de vous s’avoir gardée en vie au lieu de vouloir notre mort. »

Elle répondit en regardant Tiamat dans les yeux.
« - Intéressant, ta pas une clope ? »

Tiamat très agacé par la réponse de la jeune femme ce leva et alla en direction de la sortie. Devant la porte il ce retourna vers Albakore pour lui dire quelque chose.
« - Bon foutez moi ça dehors! Si elle ne tient pas plus que ça a la vie qu’elle crève alors… »

Soudain Kerrigane cria, luttant pour reprendre le contrôle.
« - Attendez ! Non revenez, ne me laissez pas seule avec elle. »
« - Son activité cérébrale est revenu a la normal. » Dit Albrakore a Tiamat.

Tiamat retourna a ça place, pour écouté ce que Kerrigane avais à lui dire.
« - C’est elle la folle, pas moi. Je vous suis reconnaissante… »
« - Tiamat .»
« - Merci Tiamat. » Soudain Kerrigane paraissais plus calme, plus paisible.

« - Dite moi, qu’arrivera t-il si nous vous détachons ? »
« - Vous êtes sur de ce que vous faite Chef ? Si vous la détachée… »
« - Je suis sur oui, j’ai confiance en elle. Vous n’avez qu’à sortir si vous avez peur d’elle. »

« - Je serais sage »
« - Mais oui c’est ça, bon elle arrive cette clope m’sieur Tiamat ? »
« - Arrête ça ! »

« - Est-ce que j’ai votre promesse à toutes les deux ? »

« - Oui.»
« - Compte la dessus.»
« - Arrête maintenant, laisse lui une chance ! »
« - Bon d’accord… Moi aussi je serais sage. Elle vous sauve la vie. »

« - Détachez la…les…elles. Je sais plus moi… Bref, c'est un ordre!»
Albakore s’exécute, et s’approche de Kerrigane avec réserve.

« -Voila.»
« - Merci.»
« - Merci. Mouahk !»

« - Bon maintenant, je vous expliquez ce que nous allons faire. Je vais envoyez une équipe pour récupéré vos affaires dans votre bunker. Et vous aller vous installer dans une des concessions libres que nous avons. Kerrigane vous êtes a présent membre de la Résistance. Est-ce que cela vous convient-il ? »

« - Oui, merci de votre offre je l’accepte avec plaisir. »
« - Félicitation ma puce, c’est bien que tu te fasses des amis. »
« - Et humm… J’espère que ce n’est pas non-fumeurs et qu’il y a une belle vue. »
« - Mais… »
« - Bon… Excuse moi, peu importe. »

« - Je vais maintenant vous conduire a votre Bunker ou vous y attendrais vos effets personnels. »

Kerrigane suivie Tiamat, jusqu'à la porte.
« - A bientôt toubib… »

Au passage Tiamat s’adressa aux commandos qui gardaient la porte.
« - Tout vas bien messieurs, elle est avec moi. »
« - J’espère que ce n’est pas trop loin, je suis tellement crevée que je pourrais m’endormir dans l’instant. » Dit-elle à Tiamat qui était quelque pas devant elle. Puis elle ce mis a marché a reculons pour faire face aux commandos.
« - A plus tard mes chéris. » Lançât-elle aux deux hommes, complètements médusés, en leurs faisant un petit signe de la main.

Quelques minutes plus tard, devant le nouveau bunker de Kerrigane, Tiamat s’adressa à elle avant de la laisser rentré se reposée.
« - Nous voila arrivés. C’est ici que je vous laisse, reposez vous. Si vous avez besoin de moi appelez. Bienvenue dans la Résistance.»
« - Merci pour tout. »

Kerrigane resta dos au sas pour regarder Tiamat s’éloigné, avant de rentrée dans sa nouvelle maison et enfin pouvoir se reposer.

Un cauchemar vivant.

Dans la nuit, mon sommeil fut troublé par des rêves incompréhensibles. Mais parfois entre deux songes moqueurs une accalmis me permet de récupérée un peu d’énergie. Je dormis quelques heures ainsi jusqu'à ce que quelque chose décide que j’en avais fini avec le sommeil…

« - Kerrigane, réveille-toi.»
Cette voix si proche ne pouvait pas être le fruit de mon imagination c’était elle. Je me réveillai donc, comme elle m’a dit lui demandant.
« - Qu’est ce que tu veux ? »
« - Va en logistique. »

« - Et maintenant quoi ? J’espère que tu n’as pas l’intention de me faire visiter mon bunker à cette heure, je voudrais dormir… »
« - Assise. »
Installée dans le siège face a la baie d’observation blindée, je vis dans le reflet que n’était pas dans ma tête mais que ma propre bouche parlait toute seule.

« - Kerrigane, écoute-moi. Ton esprit résiste a ma présence, tes médecins te trompe, j’étais déjà en toi depuis bien longtemps jusqu’ici la symbiose était parfaite.
Sache que je me suis pas la pour faire que tu sois quelqu’un de violente. Ma violence c’est réveiller car quelque chose à tenter de pénétrer ton esprit.

A présent, notre symbiose est menacée tu as subis beaucoup de choque ce qui a rendu mes prises de contrôle incontrôlable.»

« - Mais enfin qui es tu ? Et pourquoi es tu en moi ?»

« - Je suis toi, ou plutôt une autre partis de toi. Le bien et le mal coïncide en chaque être humain, je suis le mal. Mais il ne peut y avoir de mal, si le bien n’existe pas, nous en sommes le parfait exemple.

Mais autre fois tu disais de moi que j’étais une amie, une sœur, une mère. J’espère que tu ne m’en veux pas de te dire tout ça. Je pense que tu sais de quoi je suis capable, tu n’as rien à craindre de moi je ne peux pas te faire de mal.»

Tout semblait s’éclaircir maintenant, mais un doute était toujours présent.
« - Si je suis le bien et toi le mal, pourquoi est-je parfois tant de haine en moi, j’ai mentis aux médecins, je me souviens très bien de ce que tu as fait dans le complexe principal.
Et j’ai adoré ça. » Je pris peur rien qu’en m’écoutant parlée.

« - Car il y a des risques pour que nos… attitudes se fusionne. N’est pas peur de ressentir ce genre de choses, si tu savais comme c’est un plaisir, frappé, torturé, blessé, tué. »

« - Je ne veux pas… » Je me voyais déjà plonger, me noyée dans les méandre de la nature humaine, cette idée m’effrayais.

« - Ma pauvre puce. Ne t’inquiète pas je ne veux pas non plus que cette fusion ce produise, tout simplement par ce qu’il est fort possible que je prenne le dessus sur toi, pour toujours.

Mais la solution n’est pas si loin. J’ai ressentis quelque chose il y a tres peu de temps et toi aussi souviens toi. Cet homme, Tiamat, tant que tu sera proche de lui rien n’arrivera, tu es liée a lui et lui a toi pour des raisons qui dépasse mon savoir et celui des humains.

Il est la clé de la stabilité de notre symbiose à présent. Maintenant va, tu peux retourner dormir. Je veille sur toi.»

Je pris le chemin de la chambre pour me couchée sans dire un mot hébétée par cette discussion nocturne.
Tant de question pour si peu de réponses. Pourquoi lui, mon avenir est dans les mains d’un homme dont j’ignore tout. Sans savoir pourquoi j’ai confiance en lui.
Assaillis par des pensées diverses, je me rendormis en espérant comprendre… Plus tard.

L’Apelle de la vocation.

De mieux en mieux habituée a ma nouvelle vie, un jour Tiamat me proposa d’apprendre un métier. Je me suis donc mise a penser a cette idée…
« - Commando, portée une arme et combattre ? »
« - Ce n’est pas un truc pour toi ma puce. Par contre pour moi… »

« - Je te laisserais prendre le contrôle pour faire ça ! Je n’aime pas ça. »
« - Haha ! Dans ce cas oublie aussi Infirmière, c’est tout aussi sanglant. »

« - De toute façon ce poste est déjà pris. Que me reste-il ? »
« - Hum…Albakore. Enfin...je m’égare, et bien Mécano pourquoi pas ?
Je te vois très bien dans ce rôle la, bidouiller des machines… A défaut d’autre chose.»
« - Arrête un peu, c’est sérieux ! »

Je fus assez séduite par l’idée de devenir Magasinière. Apres quelques heures de discussion avec Tiamat, je décidais de m’engager dans cette voie.
La première fois que je suis arrivée dans un atelier je me suis toute de suite sentie a ma place, le travaille était difficile mais présentait très peu de risque, même si certaines réparations étaient dangereuses… Ma première expérience en tant que Magasinière fut de travailler sur un Béhémoth, ce dont j’avais le plus peur c’est qu’un problème avec la cuve d’hydrogène.
Rien ne pouvait me protéger de l’explosion d’une cuve, ma seule chance rester attentive aux détecteurs de gaz et pouvoir sortir de l’atelier a temps.

Bien heureusement cette fois là, rien n’est arrivée et je n’ai pas encore connu d’accident… pour le moment.
Au fur et à mesure que les jours passait je me plaisais de plus en plus dans mon rôle. Après avoir travaillée avec d’autres magasiniers de Résistance et le départ de l’un d’entres eux je fus promue unique magasinière, je possédais un très grand talent d’après Tiamat qui avait apprécié les réparations et soins apporter a son Kreator, ce n’était pas grand-chose, mais je serais a jamais reconnaissante de cette promotion.





Après le travaille, je me détendais au Bar et je fis la connaissance d’un homme intriguant qui m’avait offert un verre. Il s’appelait MacDaddy.
Nous discutions depuis quelques minute lorsque le fait que lui aussi était magasinier entra dans la conversation mais a ce moment la un Résistant, est venu a ma rencontre. Je demandais a MacDaddy de m’excuser un moment, le temps de parler avec celui-ci.

Nous nous sommes éloigner dans un coin plus tranquille du Bar, il avait visiblement quelque chose d’importe à me révéler.

« - Kerrigane, fait attention a toi. Ce n’est pas un Terraformeur ordinaire, c’est un nécro-combattant. »
« - Et alors… Laisse-la donc, elle n’a pas besoin de toi ! »

« - Pourquoi dois-je méfiée d’eux, qui sont-ils ? »
Le jeune homme s’approcha d’avantage, regardant par-dessus son épaule. MacDaddy le regardait d’un air menaçant.
« - Ils ne sont plus humain, les Putréfacteurs leurs ont enlever tout humanité. On raconte qu’ils ne craignent rien, en échange de leurs organes les Putréfacteurs les préserves de la mort et leurs offre en même temps une force surnaturel… »
« - Pourtant il semble gentil, pourquoi je me mettrais a écoutée les on dit, je suis assez grande pour me protégée moi-même. »

Le jeune homme parti, en marmonnant…
« - Je voulais juste te prévenir… Je serais pas le premier a te chercher si jamais tu disparaît comme d’autre avant toi… »

L’écoutant à peine au milieu des bruits du bar je retournais m’asseoir pour finir ma conversation et mon verre. Je pu discuter de cette histoire avec MacDaddy qui répondit a toutes mes questions. Une fois ma curiosité satisfaite je me retrouvais face à MacDaddy le nécro-combattant et je crus comprendre qu’il lui restait au moins son cœur, mais que je venais certainement de le faire fondre… En quittant le Bar je lui fis un petit signe de la main pour lui dire au revoir.

Une fois rentrée à mon bunker j’ai reçu la visite de Tiamat qui avait eu vent de ma rencontre avec MacDaddy. Je fis sans mal disparaître son sentiment d’inquiétude. Je revis plusieurs fois MacDaddy, malgré les réticences de Tiamat et celles de ma… deuxième voix.

Une histoire d’amour naquît entre moi et MacDaddy, et très vite il décida de renier ces maitres pour venir a Résistance au prés de moi. Il fut accepté malgré l’entretien houleux entre ce dernier et les autres membres de Résistance qui ne voulaient pas qu’il attire des problèmes au syndicat.
A présent les débats houleux à son propos furent oubliés, il avait sa place à Résistance, comme les autres.

Le quelques mois qui suivit furent calme, nos sentiment suivaient leurs propres route. Et un soir dans l’arrière salle du Bar réservé tout spécialement pour l’occasion il m’a demandé de devenir ça fiancée avec lui.
Je répondis en suivant ce que mon cœur me disait, Oui.


Malheureusement ma réponse fut peut être un peu rapide, la confiance, l’amour, le bonheur, laissèrent place aux doutes… Aujourd’hui, mes sentiments s’étiolent…